mais je vous emmerde, mon petit pote ! (james)
 


Partagez
 

 mais je vous emmerde, mon petit pote ! (james)

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 
AuteurMessage
Marley V. Blake
Marley V. Blake
A newcomer in Miami

❃ Messages : 93
❃ Pseudo : martelll
❃ Célébrité : adelaide kane
❃ Crédits : rosewins (av) + anaëlle (signa)

Age : 20 ans
Métier : étudiante en sciences politiques, même si étudier n'est pas vraiment un métier..
Adresse : 3212, coconut grove ; sur une allée bordée de palmiers, vous vous en doutez bien.
Orientation : hétérosexuelle

les plus beaux :
mais je vous emmerde, mon petit pote ! (james) Tumblr_ngn371bZXX1qmirelo4_250

The awful truth
Ton secret:
Envies/souhaits:
The relations:


mais je vous emmerde, mon petit pote ! (james) _
MessageSujet: mais je vous emmerde, mon petit pote ! (james)   mais je vous emmerde, mon petit pote ! (james) EmptyLun 17 Aoû - 2:20


marley & james
Vil félon, où as-tu dissimulé le Graal Sacré ? Dans ton cul !
Tu paieras pour cet affront !

« Fais attention sur la route ! » Marley Blake ne prit même pas le temps de répondre à sa mère et sortit de la maison à la hâte, son sac à dos se baladant sur l'épaule et clés de voiture dans la main. Elle jouait, rêveuse, avec l'anneau du trousseau, le faisant tournoyer sur son index le temps qu'elle atteigne l'immense garage de la propriété des Blake. La brunette n'avait pas voulu passer par l'intérieur pour y accéder car son père trônait au milieu du salon, assis sur son fauteuil en train de lire un magazine politique dont lui seul pouvait en comprendre les enjeux. Elle avait voulu éviter les remontrances auxquelles elle s'expose depuis toute petite de la part de son propre paternel, les seuls moments où s'intéressait à elle. Le sénateur l'aurait sûrement sermonné sur le fait qu'elle sortait un peu trop et faisait la fête à outrance. Il ne la connaissait pas. Pourtant sa fille n'était pas une de ces gamines paumées, au contraire. Tout la prédestinait à un brillant avenir. Il ne le savait pas.

Arrivée dans le garage, un sourire malicieux vint orner les lèvres de Marley. Elle avait le choix entre plusieurs magnifiques voitures, que bien des familles américaines ne pouvaient se payer même s'ils économisaient des vingtaines d'années. Jetant son sac à dos sur le siège avant d'un cabriolet décapotable, la brunette ne prit même pas la peine d'ouvrir la porte et sauta par dessus, ses fesses arrivant directement sur le cuir du siège conducteur, un peu comme un cliché de ces vieux films qu'elle regardait le samedi soir avec sa meilleure amie. S'attachant et introduisant ses clés dans le contact, elle fût satisfaite du ronronnement du véhicule et appuya directement sur l'accélérateur. Y'avait pas à dire, Marley aimait quand ça allait vite.

A peine sortie de chez elle, l'étudiante se pencha sur l'autoradio, ne se préoccupant plus de la route qu'elle connaissait désormais par coeur. Jetant de petits coups d’œil rapides par moments, elle jugea que la route était si bien dégagée qu'elle se concentra sur le petit appareil électronique qui faisait encore des siennes. « Une voiture à 600 000 dollars et pas capable d'avoir la radio.. » marmonna t-elle dans sa barbe, à la manière d'un homme d'affaires mécontent de sa transaction. Afin de régler le problème, elle appuyait sur tout les boutons plus ou moins longuement, surveillant la route en même temps, n'ayant pas conscience qu'elle dépassait les limites de vitesse imposées dans Coconut Drove.

Puis enfin la délivrance. Les enceintes vrombissaient une nouvelle chanson à la mode, la musique se propageant dans l'air qui faisait voler les cheveux de Marley, chatouillant sa nuque. Elle se surprit à éclater de rire. Elle était bien, là. Le vent et le soleil vidaient sa tête et la chanson s'occupait de la distraire. Marley prit un virage, puis un autre, quand arriva une chanson qui la fit littéralement danser sur son siège. Et pire, chanter à tue-tête si fort que la moitié du quartier devait l'entendre. « Oh don't you dare look back, just keep your eyes on me. I said : you're holding back, she said : SHUT UP AND DANCE WITH MEEE ! » Alors qu'elle venait de prendre un nouveau virage, elle commença à jouer de la batterie sur son volant, tout en continuant de s'abîmer les cordes vocales sur le rythme de la musique. Soudain, un bruit de tôle froissée se fit entendre que même sa radio ne pouvait pas couvrir tant il avait été sourd. Plissant les yeux, elle se demanda d'où le bruit venait quand elle porta son regard sur son rétroviseur et y vit une magnifique Lamborghini à laquelle il manquait le pare choc arrière. Portant une main à sa bouche qui formait un 'o' de surprise, elle ralentit et revint à hauteur de la sublime mais désormais accidentée voiture de sport. Alors qu'elle s'apprêtait à descendre du véhicule, elle remarqua que son précieux cabriolet avait l'aile toute enfoncée. Ça allait barder...
Revenir en haut Aller en bas
James Fairclough
James Fairclough
Miami is my city

❃ Messages : 173
❃ Pseudo : Vansx.
❃ Célébrité : Christian fucking Bale.
❃ Crédits : © Eden Memories (vava) + Anaëlle (sign).

Age : 37 ans. Un âge qui ne sert strictement à rien. La quarantaine qui approche à grands pas.
Métier : Il n'aurait pas besoin de travailler, mais pour s'occuper, il est entré dans la police. Il est maintenant inspecteur. Et il n'a pas forcément envie de monter en grade, il préfère le terrain à la paperasse.
Adresse : Coconut Grove, au bord de la mer, avec un bout de plage privatisé.
Orientation : Hétérosexuel. Il ne se pose même pas la question. Il n'aime que les douces courbes féminines.
Statut civil : Célibataire ne cherchant rien de particulier.

mais je vous emmerde, mon petit pote ! (james) Tumblr_mhbfes8JKR1rg1y5yo1_400

HIGHWAY TO HELL.



The awful truth
Ton secret:
Envies/souhaits:
The relations:


mais je vous emmerde, mon petit pote ! (james) _
MessageSujet: Re: mais je vous emmerde, mon petit pote ! (james)   mais je vous emmerde, mon petit pote ! (james) EmptyLun 17 Aoû - 3:42


Mais je vous emmerde, mon petit pote !

>

Après avoir passé la matinée à absolument rien faire, j’avais décidé d’aller faire un petit tour cet après-midi. C’est donc tout naturellement qu’après avoir mangé, j’avais été me préparer. La météo ayant annoncé 35 °, j’avais opté pour une paire de bermuda, une chemise légère, dont j’avais retroussé les manches et une parie de tongs au pied. Je voulais aller flâner un petit moment à la place, et de ce fait j’avais préparé un petit sac regroupant serviette de bain, caleçon de bain, crème et huile solaire. Certes, à l’achat de ma villa j’avais acheté en même temps un bout de plage, qui était donc privatisé, mais aujourd’hui j’avais envie de faire un tour et aller faire bronzette ailleurs. Je connaissais d’ailleurs un joli coin, tranquille, à environ une demi-heure de chez moi. Après avoir passé un court instant à la salle de bain, recoiffant mes cheveux en arrière, comme à mon habitude, j’enfilais mes lunettes de soleil, je saluais ma gouvernante et je me dirigeais directement vers la garage. J’allais sortir l’artillerie lourde. Utilisant normalement ma voiture de fonction pour aller travailler, plus discrète que mes deux autres, et ma BMW de temps en temps, je choisis tout naturellement ma Lamborghini. Mon précieux bijou. Malheureusement je ne roulais pas assez avec. C’est pour cela que mon choix s’était porté sur elle.

Confortablement installé, j’ouvris à l’aide d’une télécommande le portail du garage, et je profitais de ce petit moment pour me recoiffer dans mon rétroviseur et d’enclencher la radio, d’où les premières notes s’échappèrent instantanément « No more stop signs, speed limit. Nobody’s gonna slow me down. Like a wheel gonna spin it. Nobody’s gonna mess me around. Hey Satan, paid mmy dues. I’m playing in a rockin’ band. Hey Mamma, look at me. I’m on the way to the promised land ». Cela pouvait paraître surprenant au premier abord le genre de musique que j’écoute, car oui malgré mon statut d’homme milliardaire, je n’écoutais pas de la musique comme la plupart. Quoique oui de temps en temps, mais ma préférence allait du rock au métal. Aujourd’hui c’était encore assez soft car j’écoutais bien pire. Une fois prêt, j’emboîtais la marche arrière, merci les voitures automatiques, dieu du ciel, et je commençais à reculer dans mon allée, sortant du garage. Je fis quelques mètres avant d’arriver au portail de ma résidence. J’attendais de nouveau patiemment qu’il veuille s’ouvrir, tout en tapotant mes doigts sur le volant.

Le portail ouvert, je remis la marche arrière et je redémarrais la voiture, faisant attention à ne rien toucher en sortant. Fallait vraiment que je pense à déplacer les vases de fleurs qui se trouvaient sur l’allée. Je redoublais de prudence en arrivant gentiment sur la route de Coconut Grove. Normalement il n’y avait pas vraiment de trafic et les gens faisaient attention, mais je n’étais jamais assez prudent. Il ne suffit qu’un petit moment d’étourdissement, réfléchissant à autre chose pourtant. J’entendis tout d’abord un bruit sourd. N’étant pas sûr de ce que j’avais entendu, j’arrêtais la voiture et éteignis la voiture. Je n’étais pas sûr de ce qui s’était passé. Je ne savais dire si j’étais entré dans une autre voiture, mais un simple coup d’œil à mon rétro m’indiqua que ça ne devait pas être ça, aucune autre voiture à l’horizon, ou alors j’avais peut-être shooté un animal. La pauvre bête. Je décidais de sortir pour aller vérifier et au même moment que je posais mes pieds sur le goudron, une voiture de luxe s’arrêta à mon hauteur. J’observais un moment le cabriolet en grimaçant. « Merde » murmurai-je pour moi-même. Je sortis de mon véhicule, espérant qu’il n’y avait pas de casse. Qu’elle s’était juste arrêtée pour observer ma voiture. Arrivé au niveau de l’arrière, je déchantais rapidement. Elle n’avait plus de pare-chocs. Putain. Soupirant de rage, je sortis un paquet de cigarette de ma poche, que je m’empressais d’allumer. Je me dirigeais vers la jeune fille, propriétaire de la voiture de sport, un regard noir. La colère commençait à prendre possession de tout mon corps. Adieu journée à la plage. Je fis un tour de sa voiture, juste pour la forme. Je remarquais qu’un de ses côtés était défoncé. C’était donc cela. En reculant j’avais tapé dans la sienne. Ou inversement. J’avais pourtant fait gaffe. Je me mis devant sa voiture, croisant les bras, tirant de temps à autre sur ma cigarette, attendant qu’elle daigne bien sortir de sa voiture et s’expliquer.
.
AVENGEDINCHAINS


Spoiler:
Revenir en haut Aller en bas
 
mais je vous emmerde, mon petit pote ! (james)
Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 
Page 1 sur 1
 Sujets similaires
-
» Le monde est petit. | Teresa.
» petit panda à adopter
» ANA ღ « hakuna matana, mais quelle phrase magnifique ! »
» Lennon Ϟ vous avez reçu une demande d'ajout en ami.
» Grace St James

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
TAKING OUT THE TRASH :: Welcome to Miami :: Coconut Grove :: Habitations-