It was just for a pen

l'argent, ah ! fléau des humains !
with + aaron & bianca

Dans mon petit appartement, le téléphone dans une main, une cigarette dans l'autre, je commençais à m'énerver, parlant en russe. Je n'étais pas énervée contre l'autre personne au bout du téléphone, mais surtout contre cette société qui tourne mal. L'une de mes sœurs n'arrivent plus à joindre les bouts correctement, elle a deux enfants et son mari vient de se barrer avec une autre femme. Je me devais de l'aider, lui envoyer de l'argent, sauf que j'étais à sec, j'en avais déjà donner à mes parents quelques jours plus tôt, je n'avais pas voler une villa depuis longtemps, car j'avais mes propres soucis. Concernant l'étendu des problèmes de ma sœur, je me devais d'entrer en action.
Il y a quelques jours, j'avais été invitée à une soirée, avec des riches. Je m'étais louée une robe magnifique hors de prix, et j'avais écouté les moindres ragots, ce que j'avais retenu, c'est qu'un homme avait acquéri une immense villa à Coconut Grove, le déménagement était justement en train de se faire. Si je volais quelques objets d'une bonne valeur dans les cartons, le propriétaire allait accuser les déménageurs.
La nuit tombée, j'enfilais mes vêtements, mes gants pour ne laisser aucune trace. Vêtue toute en noir, je me dirigeais vers la villa concernée. Il n'y avait aucun bruit, même pas un chat errant. Je me faufilais, trifouillant la porte d'entrée pour entrer. Avec une simple petite lampe torche je commençais à prendre connaissance des lieux, aucun signe de vie, alors je remarquais aussitôt de gros cartons, l'un d'eux avait une annotation : Fragile ! Voilà ce que je cherche. Je l'ouvrais, commençant à regarder les divers objets, mais il n'y avait rien de bien. Du moins rien qui ne peut m'intéresser. Je le laisse dans un quoi, tentant de faire le moins de bruit possible. Je continue de regarder à droite et à gauche, jusqu'à ce qu'un vase apparaisse miraculeusement devant moi. J'en avais déjà vendu un de ce genre. Très ancien, presque unique, vu qu'il n'y en a que trois qui existe. Je le prends dans les mains, en l'examinant de tous les côtés, cherchant la signature du créateur afin de savoir si ce n'est pas une vulgaire copie.

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J'avoue qu'en apparence j'ai l'air d'un vrai petit ange, aimable, bien sous tout rapport et voir un peu naïf. Mais comme quoi les apparences sont souvent trompeuses car ce n'est juste qu'un masque que je porte. Du moins pour la plupart de ces traits. Je n'étais pas non plus du genre trouillard même si je dois avouer qu'à l'écoute des bruits en bas alors que je me trouvais dans ma chambre en plein milieu de la nuit, je n'en menais pas large. Mais lorsque j'avais allumé la lumière dans le salon, la tête encore enfariné et une batte de baseball entre les mains, jamais je ne me serais attendu à une telle vision. J'avais cligné des yeux à plusieurs reprises pour être certain que je ne rêvais pas tellement la situation était étrange. C'était bien elle, Bianca Petrov, une jeune fille d'origine russe que j'avais aidé à se repérer dans Miami alors qu'elle venait de débarquer. Par la suite, je l'avais retrouvé à plusieurs galas et soirées organisés par les plus riches de la ville. Sans trop me poser de questions, je m'étais dit qu'elle avait réussi à faire sa place dans ce monde de requins, ayant bien vu à l'époque qu'elle avait un sens de la débrouillardise impressionnant. En la voyant ainsi plantée là, un air aussi surpris que le mien sur son visage avec l'un des vases anciens donné par ma mère dans ses mains, je ne sus sur le coup quoi penser. « Un stylo ? Tu entres chez les gens en plein milieu de la nuit pour un stylo ?! », lui dis-je d'un ton ahuri et peu convaincu avant de rajouter suite à son explication encore plus loufoque. « La voiture est devant la maison dans l'allée de l'entrée et la porte est censée être fermée par un système de surveillance .. ». Mes traits médusés se transformaient en quelque chose d'un peu plus soupçonneux. « Je ne suis pas sûr d'ailleurs que le vase en cristal de bohème du 18ème siècle dans tes mains produise suffisamment d'encre pour que tu puisses laisser un note.. ». Je rabaissais ma batte de baseball, la laissant tomber le long de mes jambes sans pour autant la lâcher de mon emprise. Il était bien trop tard pour ne pas rester prudent.
Je n'étais pas si bête que j'en avais l'air ; Bianca était bel et bien en train de me voler.

EDIT → Désolé mauvaise manip de ma part, j'ai édité le rp alors que je voulais juste copier le code..

boulet fois 100000 It was just for a pen 938767698

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Je suis une voleuse hors paire et je suis aussi une bonne illusionniste. Depuis plusieurs années que je vole dans des villas de luxe, je n'ai jamais été prise une seule fois, je suis douée, je l'avoue et si d'autres voleurs me connaissaient ils s'inspireraient sans doute de mes techniques. Vous savez il y a des méthodes chirurgicales, des chirurgiens qui font des découvertes pour retirer une tumeur et d'autres finissent par s'en inspirer, parce qu'ils trouvent que l'autre était doué. Et bien c'est un peu pareil, je peux être une source d'inspiration. Sauf que contrairement au chirurgien qui retire la tumeur, je ne peux pas faire reconnaître mon talent, étant donné qu'il est illégal. Bref, ne nous égarons pas. Le vase dans les mains, je trouvais enfin la signature que je cherchais. Cela pourrait suffit pour le moment, cela pourrait payer les dettes de ma sœur. Sauf qu'il n'y a pas que elle qui est dans le besoin. Plusieurs personnes ont besoin de moi à Miami. Je me considère comme le Robin des bois de cette ville, je prends aux riches pour donner aux pauvres. Il m'arrive parfois de me rendre à l'hôpital, de payer l'opération d'une personne qui n'en avait pas les moyens. Tous les jours des centaines refusent de se soigner car ils n'auront pas assez pour payer, même avec les aides ? Combien se privent de manger afin d'avoir un toit ? Il faut faire des choix cruciaux, mais moi je ne veux pas que les gens aient à en faire, je veux voir des sourires merveilleux sur les visages, sans aucune inquiétude. Selon moi, l’argent peut faire le bonheur !
Ce qui allait suivre, je ne l'avais pas vu venir, mais pas du tout. La lumière s'alluma d'un coup, le début des ennuis allait commencer. Ni une, ni deux, je réparais celui face à moi, ce qui me bloqua totalement. Bianca ?! Tu fais quoi dans mon salon en plein milieu de la nuit ?!! Je devais trouver une excuse, là, maintenant, tout de suite ! Parce que cela devait être lui l'heureux propriétaire de cette immense villa. J'aurais peut-être du me renseigner avant de venir voler quelques objets ans aucune connaissance des lieux. Mes mains se crispèrent, devinrent moites et le vase s'effondra sur le sol en plusieurs morceaux… Oups... C'était le cas de le dire, j'étais vraiment dans un merdier pas possible. Mais je cherchais juste un stylo. Un stylo ? C'est quoi cette idiotie ? Je venais de perdre la tête, ça n'allait vraiment pas ! Je stressais et pourtant ce n'est pas dans mon habitude. Je croyais que j'étais chez un mec que je devais voir, et j'ai vu aucune voiture, la porte était ouverte, je voulais lui laisser un mot pour dire que j'étais passée. Mon niveau pour trouver des mensonges étaient bien bas ce soir, miséreux.

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J'avoue qu'en apparence j'ai l'air d'un vrai petit ange, aimable, bien sous tout rapport et voir un peu naïf. Mais comme quoi les apparences sont souvent trompeuses car ce n'est juste qu'un masque que je porte. Du moins pour la plupart de ces traits. Je n'étais pas non plus du genre trouillard même si je dois avouer qu'à l'écoute des bruits en bas alors que je me trouvais dans ma chambre en plein milieu de la nuit, je n'en menais pas large. Mais lorsque j'avais allumé la lumière dans le salon, la tête encore enfariné et une batte de baseball entre les mains, jamais je ne me serais attendu à une telle vision. J'avais cligné des yeux à plusieurs reprises pour être certain que je ne rêvais pas tellement la situation était étrange. C'était bien elle, Bianca Petrov, une jeune fille d'origine russe que j'avais aidé à se repérer dans Miami alors qu'elle venait de débarquer. Par la suite, je l'avais retrouvé à plusieurs galas et soirées organisés par les plus riches de la ville. Sans trop me poser de questions, je m'étais dit qu'elle avait réussi à faire sa place dans ce monde de requins, ayant bien vu à l'époque qu'elle avait un sens de la débrouillardise impressionnant. En la voyant ainsi plantée là, un air aussi surpris que le mien sur son visage avec l'un des vases anciens donné par ma mère dans ses mains, je ne sus sur le coup quoi penser. « Un stylo ? Tu entres chez les gens en plein milieu de la nuit pour un stylo ?! », lui dis-je d'un ton ahuri et peu convaincu avant de rajouter suite à son explication encore plus loufoque. « La voiture est devant la maison dans l'allée de l'entrée et la porte est censée être fermée par un système de surveillance .. ». Mes traits médusés se transformaient en quelque chose d'un peu plus soupçonneux. « Je ne suis pas sûr d'ailleurs que le vase en cristal de bohème du 18ème siècle dans tes mains produise suffisamment d'encre pour que tu puisses laisser un note.. ». Je rabaissais ma batte de baseball, la laissant tomber le long de mes jambes sans pour autant la lâcher de mon emprise. Il était bien trop tard pour ne pas rester prudent.
Je n'étais pas si bête que j'en avais l'air ; Bianca était bel et bien en train de me voler.

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